2017 Communication octobre

Bonjour chères riveraines et chers riverains,

Voici notre quatrième communication de l’année 2017.

Pour débuter, nous vous informons qu’un comité de concertation s’est formé le 4 juillet dernier avec la CAPSA en collaboration avec la municipalité de Saint-Ubalde concernant les lacs de villégiature du sous-bassin versant de la rivière Blanche à Saint-Ubalde. Quelques représentants de chacun des comités des lacs Blanc,  Émeraude, Perreault et Fin travaillent avec ce nouveau comité de concertation.
Cette première rencontre était un atelier de formation donné par la CAPSA, sur la gestion intégrée de la ressource en eau afin de mieux comprendre les rôles, fonctions et dynamiques qu’exercent les systèmes fluviaux, aquatiques, milieux humides et bandes riveraines au sein du bassin versant.

DESCRIPTION DU MANDAT

* Permettre à la municipalité de Saint-Ubalde de cheminer efficacement dans sa réflexion et ses travaux liés à la réalisation d’un plan d’action global.
* Colliger toute l’information nécessaire permettant à la municipalité de Saint-Ubalde d’établir, en collaboration avec la CAPSA, l’état actuel des écosystèmes des lacs de villégiature de son territoire situé dans le bassin versant de la rivière Blanche.
* Dresser un portrait diagnostic avec les données existantes du territoire qui pourra servir de base à la création d’un plan d’action à l’image des priorités environnementales et socioéconomiques de la municipalité.

Un atelier de priorisation et d’orientation a eu lieu le 20 septembre dernier afin d’identifier des priorités et des objectifs généraux :
· résultats du diagnostic ;
· besoins de la municipalité ;
· préoccupations des intervenants

Un deuxième atelier a eu lieu le 6 octobre dernier concernant les points suivants :

· Mécanique du processus de concertation;

· Étapes franchies jusqu’à présent et étapes à venir du plan d’ensemble;

· Principales modifications au document du «portrait-diagnostic» du territoire;

· Retour sur les problématiques soulevées;

· Atelier de réflexion et de discussions sur les constats;

· Définition des orientations et objectifs généraux du plan d’action.

Lorsque nous aurons des développements sur ce comité, nous vous communiquerons le résultat de ce qui sera effectué sur les différents lacs.

CONSEILS PRATIQUES

Ramonage de cheminée plus qu’une simple affaire de brossage :
Tout conduit d’évacuation de fumées doit être nettoyé au moins une fois l’an. Il s’agit d’une question de sécurité mais aussi d’un moyen de diminuer la consommation de combustibles et de limiter la pollution.

QUOI ET QUAND NETTOYER

Les éléments du système d’évacuation (cheminée, tuyaux de raccordement et conduits de fumée) doivent tous être brossés énergiquement. Le code national de prévention des incendies du Canada précise qu’une accumulation de plus de 3mm de créosote ou de particules de suie sur leurs parois représente un risque potentiel d’incendie.
À cet égard, même si vous utilisez votre foyer ou poêle à l’occasion, ceci ne fait pas exception, car elle n’est pas moins invitante pour les oiseaux et autres bestioles en quête d’un endroit propice pour y mettre leur nid. À l’opposé, si on y brûle plus de 6 cordes par année, il faut prévoir un ramonage supplémentaire en mi-saison.

Le ramonage se fait idéalement dès la fin de la saison de chauffage, soit au printemps ou en tout début d’été. Les occupants seront moins exposés aux refoulements d’odeurs et de particules fines dans la maison ou chalet durant la saison estivale alors que les courants d’air peuvent causer une inversion de tirage dans la cheminée.

AVEC QUOI DEVRAIS-JE NETTOYER ?

La brosse de ramonage (aussi appelée hérisson) doit être de forme et de grosseur adaptées à la cheminée. Les brosses de polypropylène sont les plus populaires pour les cheminées préfabriquées ou les chemisages, flexibles ou rigides, en acier inoxydable, car elles ne laissent aucun dépôt métallique corrosif sur leur paroi intérieure.

Les bûches ou autres produits dits de ramonage vendus sur le marché n’éliminent en aucun cas la nécessité de procéder à un ramonage mécanique (à la brosse). Au mieux, leur utilisation facilitera votre travail en fragilisant la suie et la créosote accrochées aux parois de la cheminée.

Vous pouvez aussi communiquer avec un technicien en ramonage certifié par l’APC (Association des professionnels du chauffage). Il a l’obligation de procéder à des ramonages «complets», c’est-à-dire de vérifier le chapeau ou du couronnement de la cheminée, du calfeutrage des solins, l’intérieur de son conduit d’acier inox ou de ses boisseaux, supports et raccords, etc…

Autant d’éléments qu’il importe de vérifier périodiquement pour s’assurer d’un fonctionnement efficace et sécuritaire de l’appareil.

Bon automne (ces conseils proviennent du CAA Québec) !

Votre comité de l’Association du lac Perreault et du lac Fin